mercredi 30 octobre 2013

DBA II.32 - Carthage

Après son ennemie historique Romaine (lire ici) réalisée en début d'année 2013, voici donc la nouvelle production de MZD Factory : des Carthaginois conduits par Hannibal, à l'échelle DBA.

Entièrement constituée de figurines Crusader, l'armée a été assemblée selon les standards non officiels mais communément utilisés au club de DBA 3.0.

Elle est donc constituée des éléments suivants :
  • un général Cavaliers (Cv)
  • un élément de Cavaliers (Cv)
  • un élément d'Eléphant Africain (El)
  • un élément de Cavalerie Légère (LH)
  • trois éléments de Lanciers (Sp)
  • quatre éléments d'Auxiliaires (Ax)
  • un élément de Tirailleurs (Ps)
  • un camp



Vue d'ensemble et de détails des Carthaginois d'Hannibal
(Figurines Crusader peintes par MZD)

Pour représenter les Lanciers, j'ai choisi d'utiliser les références de Vétérans dont les poses de crâneurs appuyés sur leur bouclier font merveille ainsi que les transferts Little Big Men. La plaquette de commandement constitue un camp particulièrement bien défendu !


Lanciers / Vétérans d'Hannibal
(Figurines Crusader peintes par MZD)

Pour la cavalerie, j'ai choisi les références Puniques. Les renforts Espagnols viendront avec l'extension DBM de l'armée.

Cavalerie Punique
(Figurines Crusader peintes par MZD)

Pour les Auxiliaires, j'ai privilégié les Ligures plutôt que les Bruttiens pour accélérer la production. En effet, les Bruttiens sont réguliers (4 figurines par socle) tandis que les Ligures sont irréguliers (seulement 3 par socle). Les figurines Crusader sont customisés par des boucliers Aventine.

Auxiliaires Ligures
(Figurines Crusader peintes par MZD)

J'ai toujours adoré l'allure des fiers Cavaliers Numides. A l'échelle du 15 mm, j'avais déjà hésité à monter une armée Numide. Mais la relapolitik l'a emporté... A l'échelle du 28 mm, je devrais avoir l'occasion d'en peindre quelques-uns de plus pour réaliser un corps allié pour Scipion !

Tirailleurs Lybiens, Eléphant Africain et Cavaliers Numides
(Figurines Crusader peintes par MZD)

Forces : D'abord il résulte de la mosaïque des peuples de la coalition Carthaginoise une évidente polyvalence : pas moins de sept types de troupes différents, du léger au lourd, à pied comme monté ; il ne manque guère que des tireurs pour que la panoplie soit complète. Cavaliers et Lanciers qui constituent le coeur d'armée expriment à eux seuls cette polyvalence avec des facteurs de combat respectifs stabilisés à +4 et +3 quelle que soit la nature de l'ennemi. Le second atout de Carthage, c'est la maîtrise des terrains : quatre Auxiliaires et un Psiloï lui assurent évidemment la supériorité dans les bois, les broussailles ou les marais. En tout cas, de ce point de vue, les Romains de Polybe peuvent difficilement lui contester cette suprématie. L'éléphant est une attraction à lui tout seul. Certes difficilement commandable (2 PIP à chaque mouvement), il peut poser un problème insoluble à l'ennemi avec ses facteurs de combat de +5 (vs cavalerie) et +4 (vs infanterie) sans craindre autant les tirailleurs qu'à DBM car, sans classe à DBA, il n'est pas pénalisé par le malus de -1 lié à la classe inférieure des Eléphants Africains.

Faiblesses : Revers de la médaille de la polyvalence, l'éparpillement. Pas évident de construire une ligne de bataille cohérente avec autant de disparité. On peut finalement considérer la combinaison des troupes comme assez moyenne d'un point de vue de la puissance globale. Ainsi, les Lanciers, moins polyvalents qu'à DBM (pas de possibilité de doubler les rangs pour adopter une formation profonde face à l'infanterie lourde à l'exception d'autres Lanciers) sont systématiquement dominés par les Légionnaires Romains (+4 vs +5). Les Cavaliers Puniques ne pèsent pas lourds dans les confrontations avec des Cavaliers de Choc, comme les Compagnons Macédoniens classés Chevaliers (+3 vs +4). Et si le champ de bataille présente peu ou pas de terrains accidentés, les quatre Auxiliaires constituent une cible de choix pour l'infanterie lourde ou la cavalerie ennemie. Enfin, la coordination de l'ensemble est rendue plus difficile encore par la conduite malaisée de l'Eléphant qui réclame 2 points d'activation à lui tout seul.

Note globale : 4 sur 5

mercredi 23 octobre 2013

Galates vs Carthage II : le retour de la revanche

Fiston Gilou ayant ressenti particulièrement positivement les potentialités de son armée Galate au format des 250 points, nous avons décidé de prolonger les débats initiaux entre Galates et Carthage qui s'étaient terminés sur une issue indécise (lire ici). L'avantage était tout de même revenu à Hannibal qui avait eu plusieurs opportunités non concrétisées de mettre l'armée Celte en déroute. Je ne voyais donc pas d'un mauvais oeil une réitération de la bataille, afin de saisir l'opportunité d'enfoncer le clou de manière décisive.

Mais la réalité de la deuxième manche a été bien différente de la première et les Galates ont sèchement repoussé la tentative d'invasion Carthaginoise, engluée dans un choix stratégique contestable (attaquer le flanc des Galates sur une aile forte avec l'élite de l'infanterie plutôt que la cavalerie), une mise en oeuvre chaotique (peu de PIP lors des premiers tours de jeu) et un manque d'ardeur général (combats décisifs avantageux tous ratés).

Partie en extérieur sur la terrasse couverte un samedi après-midi ensoleillé, du coup des jeux d'ombre et de lumière ont empêché des prises de vue de qualité sur l'ensemble de la partie. Voici donc le compte rendu éclair de la partie en 4 points chauds !


Centre de la bataille : un périlleux duel de cavaliers !

Une fois n'est pas coutume, le centre de la bataille était occupé par un duel de cavalerie. Le déploiement alambiqué de l'armée Carthaginoise et le peu de points de commandement disponibles en début de partie empêchaient l'infanterie Celte et Ligure de se déployer suffisamment dans les broussailles. Il en résultait un flanc ouvert sur la gauche de la cavalerie Punique où des cavaliers Galates s'infiltraient au risque cependant de provoquer un total désordre dans leurs propres lignes en cas de poussée Punique (recul impossible du Cv sur le flanc).
Cette situation délicate était compensée par la poussée de l'infanterie lourde sur l'aile droite qui ouvrait le flanc opposé de la cavalerie Galate sur lequel fondait avec gourmandise l'Eléphant Africain. Malheureusement, alors que les facteurs de combat était légèrement favorables aux Puniques, le flanc Carthaginois allait flancher le premier...


Centre gauche : Celtes et Ligures à l'assaut des Grecs

A gauche du duel de cavalerie, Guerriers Celtes et Auxiliaires Ligures partent à l'assaut de l'allié Grec. Même si leur assaut arrive un peu tard pour coordonner leurs efforts avec les cavaliers Puniques et Espagnols, la profondeur de leurs lignes leur donne l'avantage sur les Grecs. Et les premiers combats provoqueront sans surprise les premières pertes Grecques.
Mais au moment de concrétiser l'avantage pris, Celtes et Ligures se casseront les dents sur une incroyable résistance Grecque. Le temps jouera contre Carthage : en fin de bataille, les Grecs recevront l'aide tardive mais décisive du corps de Guerriers Galates jusque là égaré sur une aile gauche refusée par Hannibal.


Coup de trompe ou coup de Trafalgar ?

Le tournant de la partie ? Si l'expérience dément souvent qu'une bataille puisse se joueur sur un seul assaut, il faut bien avouer que le combat pris sur le vif par le cliché ci-dessus a eu d'énormes conséquences sur la suite.
Le flanc gauche de la cavalerie punique a rompu mais le renfort d'Auxiliaires Espagnols permet d'empêcher l'exploitation Galate et expose même celle-ci à un sérieux retour de bâton.
A droite, c'est le flanc Galate qui prend l'eau et permet à l'Eléphant Africain d'engager le Général en Chef Galate dans un combat potentiellement extrêmement dévastateur. En effet, Carthage bénéficie d'un combat à 5 contre 3 où un résultat cumulé de +1 suffit pour enterrer le prétentieux chef de horde barbare... Las, l'héroïque effronté repousse l'Eléphant et dans l'élan (PIP 4 sur 4 avec un dé irrégulier) ordonne la retraite de tous ses cavaliers hors de portée de charge...



Aile droite : la bravoure, antidote du désordre

Le centre Carthaginois s'enlisant, Hannibal lance enfin l'assaut à droite sur un corps de guerriers Galates jusqu'alors en flanc refusé et donc dans une position isolée. L'assaut est risqué car une charge réussie des Galates pourrait balayer en un clin d'oeil la ligne de lanciers Puniques et de Vétérans prolongée par un Général Cavalier et des tirailleurs Lybiens.

Mais la position tactique est favorable : ligne brisée de l'infanterie et charge impétueuse dispersée des Galates qui placent les blocs du centre en situation de recul impossible, charge du général sur l'élément de tirailleurs Galates qui devrait facilement ouvrir le flanc des guerriers, attrition favorable à Carthage !

Pour démoraliser le corps Galate, il faut détruire 3 blocs de guerriers et l'élément de tirailleurs en espérant que les lanciers Puniques tiennent le choc. Là encore le sort est défavorable à Hannibal.... Si le centre Galate ne tardait pas à se prendre les pieds dans le tapis, le général Carthaginois était encore moins performant. D'abord, les tirailleurs Galates résistaient pendant deux tours à un assaut qui aurait pu les balayer instantanément. Ensuite, les guerriers pris sur le flanc repoussaient le général deux fois de suite dans des combats qui leur étaient pourtant défavorables. Deux combats aux résultats inversés auraient suffi à sonner le glas des Galates.

Alors que les Carthaginois collectionnaient les occasions ratées de mettre les Galates au tapis, Ligures et Celtes subissaient trop de pertes face aux actions combinées des Grecs et des Guerriers et Cavaliers Galates. Sur l'aile droite, les Guerriers Galates enfonçaient la ligne d'infanterie Punique à deux endroits, ce qui suffisait à entraîner la déroute des troupes de Barca.






jeudi 17 octobre 2013

Chantier 10.2 - Assyriens Sargonides (Lanciers/bis)

Deuxième vague de lanciers Sargonides : 4 éléments de lanciers peints entre deux chantiers 28 mm... Paradoxalement, j'ai passé beaucoup plus de temps à peindre ses figurines Essex 15 mm que mes dernières productions Carthaginoises en 28 mm. Or, leur valeur exprimée en MARIUS (16 !) est inférieure à celle des trois éléments de tirailleurs Lybiens (18) que j'ai peints en deux temps trois mouvements. La foule de détails et le nombre très important d'opérations pour ces lanciers est bien mal exprimée par l'indice MARIUS.

D'où l'idée d'en produire un nouveau : le CESAR pour Critères Etablis pour des Séries et Ajustés au Rendement !

L'échelle du CESAR n'est plus fondée sur un simple rapport mathématique à la taille et la nature des figurines mais prend en compte le nombre d'opérations nécessaires à la réalisation du chantier. Elle devrait se déployer de 1 à 5, selon des critères qu'il me reste à affiner avant publication.




Lanciers Assyriens Sargonides
Figurines Essex peintes par MZD

lundi 14 octobre 2013

Chantier 9.8 - Carthage (Ligures)

Poursuite des travaux pour DBA Carthage avec les hommes de l'ombre. Après les tirailleurs Lybiens, les auxiliaires Ligures. Pas du genre troupes d'élite mais indispensables au bon équilibre d'une armée.
Majoritaires au format DBA (4 éléments sur 12), ils donnent à Carthage une supériorité écrasante dans les terrains difficiles.

Au format DBM, ils permettent de soutenir les Bruttiens et les Espagnols de classe supérieure ou d'investir (ou tenir) un terrain secondaire. Irréguliers et classe ordinaire, ils ont un coût réduit et permettent de renforcer le moral de l'armée.

Les figurines Crusader sont encore une fois au top mais je les ai un peu customisées. J'ai en effet greffé des boucliers Aventine permettant d'accueillir les magnifiques transferts LBM.

Pour la première fois de ma vie de peintre, je me suis lancé dans le tracé de liserés et petits motifs au bas des tuniques ou des capes. Finalement, c'était relativement facile et rapide à faire et j'aime bien le rendu final. A reproduire donc.

















Auxiliaires Ligures
figurines Crusader (boucliers Aventine) peintes par MZD

Un bug que j'espère passager m'empêche d'actualiser les blocs de texte "chantiers" dans la colonne de gauche. Le chantier Abbasside a même disparu. Je le reproduis ci-dessous. A noter que le chantier DBA Carthage est quasiment achevé (seulement deux éléments de Vétérans à socler). Je reprends le chantier Abbasside avec dans l'idée de boucler l'armée DBM pour Noël au plus tard et la DBA pour mi-novembre afin de pouvoir l'aligner face aux Tibétains de Krys lors du fimaje 2013.

Il me reste toute la cavalerie lourde à peindre (10 éléments). Je ne devrais pas être en mesure d'en présenter avant le mois prochain car j'attends d'avoir peint tous les chevaux avant de faire les assemblages chevaux/cavaliers. J'attends en effet d'avoir le maximum de chevaux peints pour faire les associations de couleur les plus heureuses, l'ensemble étant assez bariolé.

Chantier DBM III.37 Califat Abbasside
Eléments à peindre/Etat en cours
Figurines Perry (sauf archers, Gripping Beast)

4 Généraux Cavaliers [3 Reg Cv(O) & 1 Reg Cv (S)] : 3 ébarbés ; 1 en cours de peinture
6 Cavaliers [Reg Cv(S)] : 3 ébarbés ; 1 en cours de soclage ; 2 en cours de peinture
6 Cavaliers Légers [Irr LH (O)] : 6 peints et soclés
6 Lanciers [Reg Sp(O)] : 6 peints & soclés
3 Archers/Lanciers [Reg Bw (X/O)] : 3 archers peints et soclés ; 3 lanciers peints & soclés
12 Archers [Irr Ps(O)] : 12 peints & soclés
2 Milices Civiles [Irr Hd (F)] : 2 peints & soclés
3 Commandements et civils [Irr Bgg (I)] : 3 peints et soclés

Total MARIUS à peindre : 558
Total MARIUS peints : 396
Total MARIUS soclés : 378

La dernière quinzaine ayant été chargée professionnellement pour Dc Jekyll, M. Hyde n'a pas été très productif et n'a pas publié de bilan la semaine dernière. La production est relancée mais devrait connaître des soubressauts en fin de semaine pour cause de week-end prolongé pour Dc & Mrs Jekyll.

Bilan de la quinzaine précédente
(du lundi 30/09 au dimanche 13/10 inclus)
Peints : 2x4 Vétérans d'Hannibal (Crusader 28 mm, DBA Carthage)
Soclé : 1x3 Cavalier Lourd Punique (Crusader 28 mm, DBA Carthage)
Sur l'établi cette semaine
(du lundi 14/10 au dimanche 20/10 inclus)
En cours de peinture : 4x3 Cavaliers Lourds Arabes dont le général en chef (Perry 28 mm, DBM Abbasside)
En cours de soclage : 2x4 Vétérans d'Hannibal (Crusader 28 mm, DBA Carthage)
A l'ébarbage : 6x4 Lanciers Assyriens Sargonides (Essex 15 mm, DBM Sargonide)

jeudi 10 octobre 2013

DBM 15-250 : II.30 Galates vs II.32 Carthaginois Tardifs

Peindre, c'est bien. Jouer, c'est mieux ! Reprise des hostilités à domicile face à Fiston Gilou au format 15-250 (15 mm et 250 points d'armée). Gilou a sorti ses hordes Galates, bien plus performantes dans ce format réduit qu'en 400 points et j'ai choisi d'aligner Carthage avec l'idée de me rendre compte de ce que pourrait donner l'armée en 250 points avec d'entamer le chantier DBM 28 mm.



Les Galates ont défendu et truffé le champ de bataille de terrains broussailleux, ce qui n'était pas pour déplaire à Carthage, bien dotée en troupes moyennes et légères. Malgré cela, la partie fut bien accrochée et si un corps d'infanterie Galate tombait vite face aux auxiliaires Espagnols, le second résistait jusqu'au bout malgré ses flancs complètement ouverts tandis que les Cavaliers Galates enfonçaient leurs homologues Puniques.



Une bataille à découvrir en diaporama légendé (pour un visionnage en cinémascope, cliquez sur le lien ci-dessous puis sur diaporama et F1, enfin adaptez la vitesse de défilement à votre guise) :

Diaporama Galates vs Carthage

Une belle bagarre qui fera prochainement l'occasion d'un match retour.



Accès également disponible depuis l'encadré en haut de la colonne de gauche (du moins jusqu'à la parution du prochain compte rendu).

samedi 5 octobre 2013

Chantier 9.7 - Carthage (Lybiens)

Une armée, c'est un monde en soi, faut de tout. Et du point de vue de l'hétérogénéité, avec Carthage on est servi ! Des troupes d'élite aux costumes de parade et des besogneux vêtus de sac à patates, tout y est ou presque. Les javeliniers Lybiens rentrent dans cette dernière catégorie. A priori, pas de celles qu'on prélève de la table de jeu pour regarder sous toutes les coutures... Mais assurément, de celles qu'on peint en un éclair : chair, tunique unie, armement simple, pas de casque, ni barbe et des cheveux coupés court !

Mais le génie du sculpteur, c'est quand même de leur avoir donné un côté teigneux et menaçant qui sied parfaitement à des tirailleurs rompus aux embuscades et aux coups de mains de vilain. Des poses tout à fait congruentes avec leur classe supérieure [Irr Ps (S)]... Finalement, il n'est pas certain qu'il s'agisse des troupes qu'on le voit le moins sur le champ de bataille...






Tirailleurs Lybiens
Figurines Crusader peintes par MZD


mercredi 2 octobre 2013

Chantier 9.6 - Carthage (Vétérans/bis)

Cette fois-ci, pas question de les envoyer surveiller le camp ! Et il serait étonnant qu'on les retrouve à l'arrière, déployés comme à Zama (les orthodoxes s'étranglent et interrompent ici leur lecture ;-) Une seule place pour ces lanciers d'élite, classés Reg Sp (S) : en pointe de l'attaque, sur le point chaud ! Voici les deux premiers rangs, les deux suivants sont sur l'établi.

J'adore les pauses de ces vieux briscards. Les Vétérans Crusader ont en fait joué un rôle décisif dans mon choix de cette marque pour monter une armée Carthaginoise. Et les transferts LBM sont ici au paroxysme de leur splendeur. J'ai souvent peint beaucoup d'autres périodes et contextes que celui de l'antiquité classique. J'avoue que je prends vraiment plaisir à combler mon retard sur Nanardus dans ce domaine. Sans un travail excessif (bien inférieur à celui requis par le médiéval par exemple), le rendu est vraiment à la hauteur. On a l'impression de se balader dans la série de BD d'Alix "le costume antique". Et de ce point de vue, avec la mosaïque de mercenaires qu'est Carthage, le régal ne fait que commencer...





Vétérans d'Hannibal
Figurines Crusader peintes par MZD